Visioconférence- Débat

Association de psychanalyses modernes

Les Psychanalyses Modernes : "Il y a autant de psychanalystes que d'histoires de vie"

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Texte partagé le 8 octobre via la visioconférence avec les adhérents de l’APM

« Notre propre analyse associée à notre professionnalisme  et à notre humanité, acte une diversité de psychanalystes empreinte de modernité qui signe l’ouverture vers la psychanalyse de demain ouvrant grande la porte aux psychanalyses modernes.

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Vous avez dit "psychanalyste"?

Visioconférence sous forme de dialogue entre les deux coprésidents de l’Association Des Psychanalyses Modernes-Tome 1

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Accepter de ne pas tout savoir, de ne pas être dans une profession de « connaissance » où de « reconnaissance ». Accepter tout simplement sa différence et son humanité.

Avoir toujours à réfléchir sur la parole de « l’autre » et la recevoir sans chercher à être convaincu. Ne pas chercher à convaincre mais ouvrir à une possible réflexion libre. Offrir se mots, sa parole pour une ouverture et un éventuel  dialogue avec les autres.

Accepter de jouer avec les mots pour que ces derniers puissent jouer avec nous.

Accepter de ne pas tout contrôler, tout justifier en mettant en  avant son savoir.

Accepter de se tromper

De ne pas « sauver

Ne pas converser avec son égo mais avec sa fragilité et son humanité, tout simplement.

Accepter d’être soi en toute simplicité avec le désir  profond de marcher « à côté des autres » sur le chemin du devenir  en étant « vivant et imparfait »

Être psychanalyste, c’est avant tout s’accepter avec sa différence, notre analyse personnelle est le seul chemin qui peut amener le psychanalyste à « devenir » et à accepter que son rôle le plus important  ne soit peut-être pas dans son cabinet…..

Tous publics

Vous avez dit "psychanalyste"?

Visioconférence sous forme de dialogue entre les deux coprésidents de l’Association Des Psychanalyses Modernes-Tome 2

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Conversation entre Anne-Marie Cristina et Serge Sommer, les deux coprésidents de l’APM où la posture d’analyste et d’analysant est en perpétuel mouvement. S’affranchir de « ses pères » pour devenir soi La maturité, un plus pour le psychanalyste Comprendre dans le lâcher prise « qu’on ne sait jamais », pour s’accepter « imparfait et vivant »

Tous publics

La pharmacologie psychiatrique en psychanalyse

samedi 26 février à 17h, visioconférence  présentée  par Serge Sommer

 

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La plupart de nos patients sont sous médication, quelles conséquences et quels impacts sur la thérapie. comprendre les différents traitements.

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Présentation du livre : "Le Bonheur d'être soi" prix psychologique 2007 de Moussa Nabati

Jeudi 28 avril à 18h30, visioconférence  présentée  par Moussa Nabati

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L’idée conventionnelle du bonheur ,défini comme une plénitude sans manque, ni souffrance , comme une correspondance harmonieuse et parfaite entre la réalité et l’idéal, débarrassée du tragique existentiel, ne peut mener qu’à l’impasse .Il ne suffit point d’être riche,  beau , jeune et en bonne santé pour pouvoir baigner dans la félicité !

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Etude de cas clinique sous forme d'énigme

  visioconférence  présentée  par Serge Sommer

 

 

Réservé aux adhérents

visioconférence anniversaire de l'Association Des Psychanalyses Modernes.

Dialogue entre Anne-Marie Cristina, Serge Sommer et Pascal Bregeron.

 

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L’APM depuis sa création a dépassé toutes nos attentes. Les suggestions de tous nos adhérents sont étudiées avec attention. Les groupes de parole ont dépassé nos espérances. Nous sommes tous les trois très heureux d’avancer « à côté de vous », imparfaits et vivants.

Nous avons également dialogué sur un sujet d’actualité « pourquoi vouloir légitimer la psychanalyse » Ce sujet  sera repris dans une prochaine visioconférence car il nous tient à coeur.

Un psychanalyste doit-il être légitimé par un savoir  imposé? ou tout simplement par ce que son analyse lui à permis de devenir …..La psychanalyse ne s’apprend pas dans les livres même si  les lectures et les échanges sont un plus qui ouvre notre réflexion à d’autres possibilités. C’est une formation continue à vie. La psychanalyse , nous sommes » tous les trois tombés dedans », il y a un moment déjà. C’est également pour nous, un mode de vie, une réflexion de tous les instants. La psychanalyse ne s’apprend pas, elle se vit. N’est pas psychanalyste qui veut et personne ne peut se l’approprier, elle a soif de liberté et d’humanité. Alors respectons là et avançons avec nos différences.

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L'ENFANT CROIT INCONSCIEMMENT QU'ÊTRE ADULTE, C'EST DÉTENIR UN SECRET

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  • Conférence pour l’Association des Psychanalyses Modernes par Serge Sommer – Psychanalyste à Livron-sur Drôme Freud citait une phrase de William Wordswoth : »L’enfant est le père de l’homme », car l’enfant créé l’adulte qui est une chimère. Nous restons tous des enfants qui « jouons » aux adultes car l’adulte reste toute sa vie un enfant qui a su grandir en restant connecté à son monde d’enfant. La maturité psychique , c’est renoncer au masque de l’adulte pour laisser émerger notre enfant intérieur, en se réconciliant avec lui. S’accepter tel que l’on est avec nos belles fragilités et notre sensibilité. Ne plus se prévaloir d’être « le sachant » et accepter de ne jamais tout savoir…. L’enfant croit inconsciemment qu’être adulte c’est détenir un secret, mais chut !!! Le secret est un manque que notre enfant intérieur recherche toute sa vie pour finir par comprendre qu’on ne sait jamais…. Alors l’enfant qui a grandit et que l’on nomme adulte, va prendre son enfant intérieur par la main et lui dire « tout va bien, nous allons parcourir ensemble le chemin de la vie« 

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L'APM remercie Roland Gori d'avoir ouvert les portes de la réflexion entre politique et humanité

 

 

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  • L’APM c’est sortir des clivages idéologiques, des obédiences, de la guerre des chapelles en réunissant des psychanalystes dans le respect de leur différence. Nous avons eu l’honneur et le grand plaisir de recevoir Roland Gori l’espace d’une soirée pour parler de son livre « La fabrique des servitudes ». Dans nos sociétés de contrôle, l’information est le moyen privilégié de surveiller, de normaliser et de donner des ordres. Les informations, molécules de la vie sociale deviennent les sujets de l’existence, les véritables cibles des pouvoirs politiques et économiques. Avec le langage numérique, les subjectivités se trouvent enserrés dans un filet de normes de plus en plus denses et contraignantes. Les idéologies scientifiques viennent souvent légitimer ce »naturalisme économique » transformant le citoyen en sujet neuro-économique et son éducation en fuselage de ses compétences en vue des compétitions à venir. Rassembler pour reconstruire et créoliser l’imaginaire pour refonder une politique et une idéologie utopiste qui sortirait de cette modernité mortifère qu’avait dénoncé déjà en son temps Albert Camus. L’espoir de réconcilier la politique et la culture, de sortir »du siècle de la peur » et de renouer avec l’expérience sensible d’une nouvelle révolution symbolique, qui donne au monde et à l’existence ce sens et cette cohérence politique et poétique dont nous sommes aujourd’hui orphelins…. Il y a urgence à détourner l’utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai et faire chuter sa majuscule pour que nos vies ne soient pas minuscules. « La fabrique des servitudes » Dans une société ou nous perdons notre humanité, nos éclats de rire, nos sourires, ou notre innocence d’enfant est mise à l’épreuve de la norme, ou tout est robotisé, ou l’écoute et la bienveillance sont devenus des gros mots, ou le lien social est brisé par la peur et se meurt derrière des masques de paraître, ou tout est devenu inaccessible, contrôle, unification. Un unique chemin pour tous ou le désir n’a plus de place, ou survivre est devenu la norme. Une vie ou tout se ressemble, faites de faux semblants, de calculs et de chiffres, sans aucune individualité. Un monde ou le rien est devenu un tout … Fait de pressions, de pulsions, d’évitements ou le mot humanité n’existe plus. Un monde coincé dans l’inexistence, dans l’entre-deux ou aimer ne se ressent plus. Un monde superficiel, ou les chiffrent unifient, ou les différences se creusent , ou le roi se délecte dans sa toute puissance, ou les égos demeurent ou les fragilités s’enlisent. Ou l’on ne communique plus, ou l’on ne se regarde plus, un monde aveugle , sans espérance, unifié dans l’indifférence, assouvit par les chiffres. Un monde ou tout doit servir, robotisé vide d’humanité et de créativité, sans différence ou nous marchons sur le chemin de l’inexistence, du même pas , au rythme des règles, du rendement, profondément utile mais sans rêveries… Un vide émotionnel, le non sens de la vie ou aimer n’existe plus en dehors de la norme. Un monde impossible qui part dans tous les sens , ou ces émotions qui définissent notre humanité sont malmenées, trahies, compressées… II n’y a plus de liberté d’exister, de vivre, sans peur.. La médecine humaine devient des chiffres, se cache derrière un écran sans contact. Le soin est devenu un protocole sans aucune individualité. Ou est donc passé l’enfant qui frappe dan ses mains pour éteindre la lumière avec dans son regard innocent , le reflet du rêve, si indispensable à la vie? Cet inutile , ces émotions qui fond de nous des individus différents imparfaits et vivants qui vibre au fond de chacun de nous et que nous réprimons au nom de l’unification. Cet inutile si profondément essentiel à la vie….. Faisons tous ensemble de l’inutile notre priorité, revenons à l’essentiel en participant à rétablir l’équilibre indispensable à la vie dans la balance d’une société fortement déshumanisée et régulée par la norme… L’association des Psychanalyses Modernes remercie Roland Gori d’avoir ouvert les portes de la réflexion entre la politique et l’humanité, en acceptant de partager avec nous, l’espace d’une soirée, ce moment inutile et profondément essentiel. Merci à Roland Gori pour sa bienveillance, sa créativité , son humanité et sa différence. Veuillez recevoir en retour, Roland, notre plus profonde humanité. Anne-Marie Cristina et Serge Sommer Co-présidents de l’APM Pascal Bregeron Secrétaire Général de l’APM Nous vivons dans un monde ou les funérailles sont plus importantes que les morts Le mariage est plus important que l’amour l’apparence plus importante que l’esprit Nous vivons dans une culture de l’emballage qui méprise le contenu Anthony Hopkins.

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Témoignage de Monsieur Serge Sommer co-président de l'APM. La psychanalyse et la résilience.

 

 

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Je suis personnellement très touchée de mettre cette conférence en ligne, aujourd’hui. IL est important pour nous psychanalystes de raconter notre histoire en montrant notre résilience. Le chef de file de l’Association Des Psychanalyses Modernes, Monsieur Serge Sommer co-président de l’APM nous montre le chemin avec simplicité en nous racontant son histoire. Son professionnalisme emprunt d’une profonde humanité fond de lui un psychanalyste hors pair qui a mon plus profond respect et dont les résultats en cabinet ne sont plus à prouver. Je suis très fière de faire avancer cette association qui nous ressemble et qui nous rassemble à ses côtés. Merci à toi pour cette magnifique résilience ou tu as fait de ta fragilité une force. Tu nous montres le chemin ou la psychanalyse a tout son sens. Grâce à toi, nous avons compris qu’il faut marcher « avec nos godasses » sur notre chemin . Un chemin ou « Plus jamais » « Entre nulle part et N’importe ou » nous serons seuls « Au bord de ma route ». Nous savons également que « Jésus , est un psychanalyste athée ». et que « l’enfant croit inconsciemment qu’être adulte, c’est détenir un secret » Tu as su partager à travers » Au- delà du verbe » et dans « l’autopsie du silence » avec nous ton histoire. Je te remercie Serge Sommer d’exister, reçoit en retour de ce témoignage, mon plus profond respect rempli d’humanité. Et surtout ne change rien , reste celui que tu es en toute simplicité… Anne-Marie Cristina CO-présidente de l’APM

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Échange entre Moussa Nabati et Anne-Marie Cristina pour la sortie du livre"Se reconstruire".

 

 

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Echange privé avec Mr Moussa Nabati autour de son dernier ouvrage, en librairie le 3 mars 2023 « Se reconstruire » La maison-soi est habitée par deux colocataires, l’adulte et son enfant intérieur. Quand on se sacrifie pour quelqu’un, c’est lui que l’on immole sur l’autel de son narcissisme. Restaurer nos failles, nos brisures, sans rien jeter, ni cacher, sans honte et sans regret, en rassemblant les divers pans de noter identité plurielle, par la restauration de nos clivages internes… avec des jointures en or. Le couple c’est faire advenir l’autre pour devenir soi. C’est aider l’autre à éclore en lui servant de garant et aussi de limite pour l’empêcher de se saboter dans la démesure. Chaque être en créant l’autre, se crée lui-même et chacun en devenant soi fait advenir l’autre; Chacun sert à la fois de garant et de limite à son contraire.` C’est quoi pour toi aimer, Moussa? Aimer c’est êtres désirant psychiquement adulte , dans la gratuité du désir. La blessure est l’endroit ou la lumière pénètre en vous Il n’y a pas de roses sans épines Moussa Nabati Vivre c’est prendre le risque de tomber et de renaître de ces cendres tel un phénix encore et encore. Vivre c’est aller dehors et tant pis s’il pleut. Vivre c’est s’autoriser à grandir et à ne pas s’enfermer dans ce fantasme originel. Vivre c’est s’aimer pour aimer « l’autre » C’est accepter l’autre comme son contraire et non une continuité de soi. C’est s’autoriser à ne pas être parfait, à être déçu, c’est accepter d’être rejeté encore et encore et de travailler à chaque fois sur ce rejet qui n’est au fond qu’un ressenti qui nous est propre et qui nous ramène à notre histoire d’enfant, notre enfant intérieur carencé. Il est normal de souffrir, l’inverse serait insupportable, pas de soleil sans brouillard et sans pluie. Même si ce n’est pas l’adulte qui est en nous qui souffre, mais l’enfant blessé qui se sent impuissant , rempli de culpabilité et abandonné dans sa souffrance. Les scénarios de notre vie d’adulte nous ramènent inlassablement à lui et l’on revit sans cesse le rejet et la maltraitance comme si cela se passait ici et maintenant. Comment restaurer nos failles , nos clivages sans honte et sans regret? Il n’y a pas de solution magique, la mienne est de laisser venir les émotions, d’accepter d’en souffrir intensément, de crier et pleurer sous la douche encore et encore et d’attendre , en laissant le temps au temps en gardant toujours un pas dehors.. Accepter ses émotions sans les censurer, accepter de les vivre sans les fuir, faire le lien entre le dedans et le dehors! Et à un moment, allez savoir pourquoi, les émotions ainsi libérées vous autorisent à briller encore et encore jusqu’a la prochaine fois! Votre enfant intérieur a fini de pleurer, il a été entendu!! Ainsi va la vie et vivre c’est avant tout accepter de regarder dehors, le ciel nuageux, la pluie, la neige, le brouillard dans l’ordre ou dans le désordre, pour tout à coup ressentir sur son corps la chaleur du bien-être et tout au fond de soi, le soleil briller de tous ses éclats. Je vais finir par une phrase qui me touche et me ressemble Et terminer en parlant d’aimer est il me semble une belle conclusion. Oui, je confirme, il existe une vie avant la mort, il suffit simplement d’accepter d’être soi, de ne plus cliver en prenant son enfant intérieur par la main. Aimer, c’est aider « l’autre » à briller alors qu’il nous aide à briller en retour dans le respect de nos différences en accord avec nos autonomies psychiques respectives. Et en s’acceptant imparfait et vivant sur le chemin de nos désirs. Je suis personnellement très heureuse de faire la promotion de ton livre pour sa sortie aujourd’hui le 3 mars 2023″Se reconstruire » que j’ai lu avec beaucoup de plaisir. Merci à toi Moussa pour ce moment beaucoup trop court pour moi, pour ta bienveillance et ton authenticité remplies d’humanité. Reçois en retour au nom de tous les membres de l’ Association des Psychanalyses Modernes, de Serge Sommer, Pascal Bregeron et moi-même, notre plus profonde humanité. Anne-Marie Cristina Psychanalyste `Co-présidente de l’APM

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"J'ai fini par y arriver, c'est minuit" Richard Abibon

 

 

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Merci à Aurore Abibon, Titouan Faivre, Eugénia Correia, Christine Dornier et Patricia pour leur participation. Merci à Richard Abibon Et non, cela ne se finit pas comme ça, c’est tout! C’est le début d’un long chemin ou le partage est le maître de cérémonie.` L’acteur principal demeure présent par ses écrits qui nous bouleversent et nous ravivent en même temps. Les émotions lien indispensable entre toi Richard et nous « les autres » ce soir ont su tisser un fil magique indispensable entre les équilibristes que nous sommes chacun à notre façon. Un moment de passage entre »être » et devenir ou nous en comprenons ce soir, tout le sens profond. Merci à toi Richard de nous avoir permis d’échanger ensemble en nous appropriant chacun à notre façon, tes écrits le temps d’une conférence. L »écho qu’ils ont initié en nous fait foi de leur utilité et de leur importance. Je suis personnellement honorée de t’avoir reçu le temps d’une visioconférence à l’association Des psychanalyses Modernes, toi l’électron libre , merci d’être venu nous rejoindre, le temps d’une soirée. Merci à toi d’avoir été et d’être encore à travers tes ouvrage et ta différence, un psychanalyste qui nous ouvre les portes du rêve. Anne-Marie Cristina Co-présidente de l’APM

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